« La naissance d’un vivant est un plus grand miracle que la résurrection d’un mort » (Dr Jérôme Lejeune).
{Laie : chemin forestier délimitant des parcelles.}
La bibliothèque d'Étienne Chomé
Jeux du "je" jusqu'au coeur du coeur
« La naissance d’un vivant est un plus grand miracle que la résurrection d’un mort » (Dr Jérôme Lejeune).
{Laie : chemin forestier délimitant des parcelles.}
« Je penche, donc je chois »
(Albert Brie).
« Il n’existe pas de meilleur exercice pour le coeur
que de se pencher pour aider quelqu’un à se relever »
(John A. Holmes).
« L’optimiste est un imbécile heureux ; le pessimiste, un imbécile malheureux. Vous pouvez très bien vous les représenter sous les traits de Laurel et Hardy » (Georges Bernanos).
« Ce mec, c’était Laurel et Hardy à lui tout seul » (Anna Gavalda).
Chamarel, ce beau coin de l’île Maurice, avec sa terre aux 7 couleurs, du rouge au brun à cause des oxydes de fer et du bleu au violet à cause des oxydes d’aluminium. Comme les particules de fer et d’aluminium sont répulsives, les 7 sables colorés même mélangés se réarrangent et se remettent à côté de ceux qui ont la même couleur : qui se ressemble, s’assemble ? Qu’en est-il des 7 couleurs de l’arc-en-ciel et de nos communautés / communes ôtées ?-
« Lave ton coeur comme on lave un vêtement » (Proverbe arabe).
« Quand tu veux te laver, prépare d’abord la serviette pour t’essuyer » (Jérôme Cardan, Ma vie).
« Obliger les hommes à se laver et ne point leur donner de serviettes, toute l’ânerie militaire est là » (Georges Courteline, Le Capitaine Marjavel).
« Briquer le pont d’un navire » : nettoyer en parcourant en tous sens, comme l’exprime un des sens du mot « balayer », et aussi passer plusieurs fois pour mouiller puis sécher le pont aussitôt après, afin de ne pas glisser…
Île Maurice, née par en bas d’un point chaud,
tu conduis l’humanité tout là haut…
M E R C I, Mauriciens arc-en-ciel, beau rainbow !
Bien sûr, l’île Maurice nous offrent d’excellents
rhums aux mille saveurs aromatisées…
Il demeure que, pour moi, l’âme de ce peuple
est le fruit le plus savoureux de sa ti zil la…
Merci, Rachel…
« Ma carrière est de bric et de broc, mais ma vie est remplie du début à la fin » (Marie Laforêt).
« Si l’on réfléchit au fonctionnement de l’histoire, l’idée même des sources, des origines d’une civilisation, est littéralement dépourvue de sens. Tout se construit de bric et de broc » (Paul Veyne).
Du latin brocchus, le broc est un récipient haut à usage domestique, à col resserré, muni d’un bec évasé et d’une anse.
À chacun.e de nous, je souhaite un bon travail craie-à-tif
et de bonnes pauses de bric et de broc qui créent peu hâtives
(après mes féeries / fées-et-ris à l’aube, je peux bien commencer ma journée…). Bonnes mimiques et bonnes joues nées !
Jésus est un spécialiste du recadrage… « Chacune des paraboles ici étudiées l’a illustré : au cœur du jeu parabolique, s’exerce un ressort en 3 temps : 1) la parabole détend d’abord et comprend son destinataire ; 2) puis, elle tend ailleurs et le surprend par un coup de théâtre, un renversement de situation ; 3) enfin, elle lui tend la perche en lui lançant un « prends position » ! Nous avons à chaque fois examiné comment la parabole, par ce jeu de recadrage, constitue un langage de changement d’une redoutable performativité pour appeler à un comportement nouveau.
Dans les quatre derniers exemples, nous avons comparé la parabole à une opération de sauvetage de quelqu’un qui est tombé dans un trou. 1) Elle commence par lui tendre la main. 2) Une fois qu’elle le tient bien, elle le tire vers le haut pour l’en sortir. 3) Enfin, elle lui demande de tenir debout par lui-même. Hélas, au moment où la parabole cherche à le sortir du trou, il arrive qu’il lâche la main et retombe au fond du trou. Il va alors comprendre la parabole à l’envers, lui faire dire son contraire. Incapable de voir le ressort de la parabole dans le deuxième mouvement, il va la réduire dans le mouvement premier. Il se convainc que la parabole légitime la conduite qu’en réalité, elle conteste. C’est le risque pris par l’art parabolique qui commence par entrer dans la perspective de son destinataire. Nous avons montré à chaque fois comment la parabole prend soin d’aménager d’abord un terrain d’entente, une plate-forme commune, en obtenant son assentiment sur un point, lequel sert alors de levier pour tenter de surmonter le dissentiment » (dans la conclusion de Chomé Étienne, Le jeu parabolique de Jésus, une étonnante stratégie non-violente, Éditions Lumen Vitae, Collection Connaître la Bible, n° 57, 2009).
« Une blessure écoute toujours plus finement qu’une oreille »
(Aharon Appelfeld).
En Turquie, c’est une grave impolitesse de trinquer en levant son verre au même niveau qu’une personne plus âgée : il convient de placer mon verre plus bas que le sien.
Le même hochement de tête signifiera « oui » pour un Québécois et « non » pour un Grec !