Catégorie : Humour
Tu auras, toi, des étoiles qui savent rire
Le petit prince :
« Tu regarderas, la nuit, les étoiles.
Mon étoile, ça sera pour toi une des étoiles.
Alors, toutes les étoiles, tu aimeras les regarder…
Les gens ont des étoiles qui ne sont pas les mêmes.
Pour les uns, qui voyagent, les étoiles sont des guides.
Pour d’autres, elles ne sont rien que de petites lumières.
Mais toutes ces étoiles-là se taisent.
Toi, tu auras des étoiles comme personne n’en a…☆
Quand tu regarderas le ciel, la nuit, puisque j’habiterai dans l’une d’elles, puisque je rirai dans l’une d’elles, alors ce sera pour toi comme si riaient toutes les étoiles. Tu auras, toi, des étoiles qui savent rire… »
Antoine de Saint-Exupéry
Love et lovés
Ce lot « V » = se lover !…
Confiance, clairvoyance et jouissance
de poser notre alliance dans l’Alliance.
Notre couple n’est pas fini et n’a pas fini
s’il greffe notre amour fini sur l’Amour infini.
Tel est le jackpot du lot « V » !
Pour vous servir, votre ami-Valet des dimanches
… … … … … … … votre Jack-pote des dix-manches
(les 4 manches du couple + les 6 de la Trinité)
Le plus beau des cadeaux : je crois en toi, en amont et au-delà de tes infidélités
« J’ai été bouleversé non de ce que tu m’aies menti mais de ce que je ne puisse plus te croire » (Friedrich Wilhelm Nietzsche, Par-delà le bien et le mal, 1886).
« J’ai beaucoup de préoccupations de toutes sortes, mais la confiance les surpasse toutes » (Madeleine-Sophie Barat).
Mon père / mon Père ne me donne-t-il pas le plus beau des cadeaux, en croyant en moi, en amont et au-delà de mes paroles et de mes actes ?
L’immunité collective de la solidarité !
Je développe mon immunité et
nous développons notre hymne-unité,
l’immunité collective de la solidarité !
Coronavirus oblige !
Les paraboles et le langage de changement : déconstruire et reconstruire
« La plupart attrapent une opinion comme on attrape la rougeole, par contagion » (Jules Payot, La faillite de l’enseignement, 1937).
« L’école de Palo Alto, dont Paul Watzlawick est la figure de proue, s’est intéressée aux paraboles évangéliques car elles contiennent toutes les caractéristiques du « langage de changement ». Elles opèrent un « re-cadrage », c’est-à-dire qu’elles ne se contentent pas de modifier des éléments à l’intérieur d’un système laissé intact mais elles réussissent à changer le système de référence lui-même. Le langage de changement cherche à faire bouger, à l’opposé du langage didactique qui relève en linguistique du langage de renforcement (celui-ci cherche à expliquer, à expliciter, à clarifier les tenants et les aboutissants d’une problématique).
[…] Jésus réalise un double mouvement 1) de déconstruction (il ébranle le schéma de pur/impur) et en même temps 2) de reconstruction (il lui substitue celui de pécheur pardonné/pécheur sauvé). Geert Hallback applique le concept de Jacques Derrida aux paraboles : elles ne sont pas destructives mais plutôt « déconstructives », elles dé-construisent et re-construisent tout à la fois. Une parabole fonctionne comme un métier à tisser à double navette : l’une dénoue les fils pendant que l’autre en noue d’autres.
[…] Au cœur du jeu parabolique, s’exerce un ressort en 3 temps : 1) la parabole détend d’abord et comprend son destinataire ; 2) puis, elle tend ailleurs et le surprend par un coup de théâtre, un renversement de situation ; 3) enfin, elle lui tend la perche en lui lançant un « prends position » ! Nous avons à chaque fois examiné comment la parabole, par ce jeu de recadrage, constitue un langage de changement d’une redoutable performativité pour appeler à un comportement nouveau.
[…] La parabole fonctionne comme une opération de sauvetage de quelqu’un qui est tombé dans un trou. 1) Elle commence par lui tendre la main. 2) Une fois qu’elle le tient bien, elle le tire vers le haut pour l’en sortir. 3) Enfin, elle lui demande de tenir debout par lui-même. Hélas, au moment où la parabole cherche à le sortir du trou, il arrive qu’il lâche la main et retombe au fond du trou. Il va alors comprendre la parabole à l’envers, lui faire dire son contraire. Incapable de voir le ressort de la parabole dans le deuxième mouvement, il va la réduire dans le mouvement premier. Il se convainc que la parabole légitime la conduite qu’en réalité, elle conteste. C’est le risque pris par l’art parabolique qui commence par entrer dans la perspective de son destinataire. Nous avons montré à chaque fois comment la parabole prend soin d’aménager d’abord un terrain d’entente, une plate-forme commune, en obtenant son assentiment sur un point, lequel sert alors de levier pour tenter de surmonter le dissentiment » (ChomÉ Étienne, Le jeu parabolique de Jésus, une étonnante stratégie non-violente, Éditions Lumen Vitae, Collection Connaître la Bible, n° 57, 2009, p. 28-29 & p. 74).
Du tend qui détend au prends position via comprend qui surprend !
Déconnecter d’internet et rendre l’interne plus net
« Je » + « Tu » = « Nous » plus riche que « Je » + « Tu ». Alchimie !
Contempler la lune
17 janvier 2020 : dernier quartier de l’une / l’autre : Self-service gratuit…
Mais oui, déchaînez-vous !
Mauvaise idée de lâcher le chêne pour la chaîne.
Bonne idée de laisser le chêne nous enraciner dans l’humus simple et libérateur.
« Auprès de mon arbre je vivais heureux
J’aurais jamais dû m’éloigner de mon arbre
Auprès de mon arbre je vivais heureux
J’aurais jamais dû le quitter des yeux… » (Georges Brassens) : https://www.youtube.com/watch?v=Q3-_8SblRIQ