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« J’en pince pour la rhino,
je joue du rock en do.
J’la vois et je m’embrase,
je joue aussi du jazz.
Si ça ne suffit pas,
je chant’rai tcha-tcha-tcha,
j’apprendrai le tango,
la valse et la polka.
C’est vrai qu’elle est exquise,
elle me branche comme une prise.
Il suffit qu’elle s’amène
et mon coeur se déchaîne ! »
(Hubert Ben Kemoun, La rhino est une féroce, p. 14).