« Les dessous de la ville : Paris souterrain » : une exposition surprenante sur les souterrains parisiens. On nous cache des choses ? C’est un qu’on-p’lot’ ?
Catégorie : Humour
Rions-en
Le variant suisse reste neutre, quel que soit le test PCR, antigénique ou sérologique.
Le variant belge est dangereux : il finit très souvent par une mise en bière.
Ne craignez plus le variant chinois, il est cantonné ; on en rit !
Avec le variant italien, vous en prenez pour Milan.
De son côté, le variant écossais se tient à carreau.
Avec le variant japonais, il y a du sushi à se faire.
Le variant moscovite, on le viRusse.
Les Corses se racontent que leur variant s’attrape par l’écorce du bouleau harassant.
Pour le Bordelais, pas de souci on a les Médoc.
Le premier symptôme du variant breton, c’est quand on commence à entendre le loup, le renard et la belette chanter…
Le variant Travolta donne toujours de la fièvre, mais seulement le samedi soir.
Chouette pas chouette ?
« Une âme sœur, c’est quelqu’un qui a des serrures pour nos clés et des clés pour nos serrures » (Leslie Parrish).
Bons examens de fin d’année…
Bon courage à tous les étudiant.e.s, en cette période d’examens
de fin d’année scolaire !
J’en vins à trinquer plutôt que trinquer en vain
« Rien ne m’est plus déchirant que de voir Dieu constamment défiguré, comme une puissance extérieure au monde, non engagée dans notre vie, confite tout entière en elle-même, dans sa gloire et son bonheur, et jouant dans notre monde qui n’est rien pour Lui, dont Il n’a pas besoin, et qu’Il laisse se débattre dans les agonies que nous connaissons » (Maurice Zundel).
Haute voltige
« Haute Voltige : tige qui pousse en Haute-Volta » (Marc Escayrol).
« La mode est cette dictature de l’éphémère qui s’exerce sur les transfuges de l’éternel. Les engouements collectifs se succèdent sans laisser de traces : la feuille morte voltige d’un lieu à l’autre, mais tous les lieux se valent pour elle, car son unique patrie est dans le vent qui l’emporte » (Gustave Thibon, L’équilibre et l’harmonie, 1976).
Pantagruélique
C’est pour faire rire que François Rabelais publie son premier roman en 1532 : « Les horribles et épouvantables faits et prouesses du très renommé Pantagruel, Roi des Dipsodes ». Cette farce truculente et fantasque ébranle par l’humour l’obscurantisme de son temps. Le géant Pantagruel qui rencontre partout des iniquités et des superstitions grossières, est du style à combler, par mégarde, une carie dentaire en avalant des soldats… Selon le bon mot d’Anatole France, la philosophie pantagruélique est proportionnée à la faiblesse humaine.
« L’histoire est une fable pantagruélique et féerique où les lois de la société nous sont enseignées dans les aventures d’un personnage tour à tour grotesque et sublime, digne à la fois d’amour et de pitié, que les anciens Orientaux appelaient Adam, l’Humanité » (Pierre-Joseph Proudhon, Les Confessions d’un révolutionnaire pour servir à l’histoire de la révolution de février, 1849, p. 86). Encore aujourd’hui, le rire est une ressource susceptible de faire tomber quelque pan de bêtise…
Derviches tourneuses
« La danse des derviches tourneurs, devenue icône culturelle et touristique en Turquie, est réservée aux hommes depuis des siècles. En tournant parmi leurs pairs masculins, des femmes derviches revendiquent le message égalitaire de Rûmî et créent un espace spirituel pour s’émanciper. L’ordre des derviches tourneurs a été créé au 13e siècle par Rûmî, aussi nommé Mevlana (« le maître »), un poète persan qui défendait l’égalité entre les femmes et les hommes. Les premiers groupes de derviches sont demeurés mixtes plusieurs décennies après sa mort, puis les femmes en ont été écartées. Rempli·e·s d’amour, dans un état d’extase mystique, ces femmes et ces hommes reprennent les gestes répétés mille fois de cette tradition centenaire et tentent de communier avec Allah. Sans le savoir ou même le vouloir, ces derviches créent peut-être aussi un mouvement vers un peu plus d’égalité » (https://gazettedesfemmes.ca/19650/femmes-derviches-distanbul-semanciper-par-la-spiritualite/).
Bouffon du roi, fou du peuple
« Dans la société des fous, le plus fou est roi » (Proverbe latin).
« Un artiste ne doit pas se tenir à l’écart mais au milieu. Je ne suis pas le bouffon du roi, je suis le fou du peuple ! » (Jacques Higelin, Je vis pas ma vie, je la rêve).
« Les fous sauront priser la sagesse lorsque les chiens pourront lécher la lune » (Proverbe persan).
Liberté
« Il y a des gens qui peuvent être ailleurs quand ils veulent, ils n’ont pas besoin d’avoir un passeport » (Jacques Prévert).
« La liberté intérieure, c’est quand le regard de l’autre ne nous détermine pas » (Alexandre Jollien).