Le rasoir d’Ockham

Pourquoi faire compliqué quand on peut faire simple ?

Le rasoir d’Ockham / d’Occam a été énoncé par le philosophe Guillaume d’Ockham : « Pluralitas non est ponenda sine necessitate » (les multiples ne doivent pas être utilisés sans nécessité), dans l’intention d’éliminer des explications improbables d’un phénomène. Les hypothèses suffisantes les plus simples sont à préférer car l’explication la plus simple est généralement la bonne.

Les Shadoks (série animée à la TV) ont pris un malin plaisir à inverser ce principe de simplicité / d’économie / de parcimonie :
« Pourquoi se compliquer la vie à faire simple
quand il est si simple de faire compliqué ? »

Serait-il barbant, ce rasoir ?
Serait-il barbant, se rasseoir
(les temples désertés pendant et après le COVID) ?

21 juin, l’été t’enjoint

Chaude accolade en ce vingt et un juin…

Le 21 juin, vois, l’été t’enjoint
Bienvenue l’été ; c’est vingt et un juin…
Bonheur du printemps : l’été à pieds joints !

« Sur la plage, le parasol fermé pointe au firmament.
Ma langue savoure les grains de sel sur mes lèvres moites.
Mes pieds s’enfoncent dans le sable chaud.
Le sommeil me guette, le rêve m’attend.
Le soleil grandit l’éternité de mes pensées »
(Sybille Rembard).

Ballon rond

« Je pense qu’Eden Hazard sera considéré comme l’un des meilleurs joueurs du monde. Il est au sommet de l’arbre en termes de capacité au ballon, de conscience et de compétence » (Frank Lampard).

« Le travail individuel permet de gagner un match mais c’est l’esprit d’équipe et l’intelligence collective qui permet de gagner la coupe » (Aimé Jacquet).

« Si je voulais que tu comprennes, je l’aurais mieux expliqué » (Johan Cruyff).

Tous à l’eau de la conscience

« Tous les mortels n’ont point eu les mêmes dons en partage, mais tous ont intérêt à prendre la nature pour guide et à marcher d’un pas assuré dans les sentiers de la droiture » (Pindare, Les jeux néméens, publié il y a 2500 ans).

« La conscience est meilleur guide que l’opinion publique » (Abbé Antoine Prévost, Pensées et maximes, publié il y a 300 ans).

« L’expérience, pour celui qui sait en profiter, est le meilleur guide dans la conduite de la vie » (Adolphe d’Houdetot, Dix épines pour une fleur, publié il y a 170 ans).

Canicule et fongicide

« Avec le retour de la chaleur, les champignons peuvent proliférer dans le jardin et le potager, surtout lorsque l’atmosphère est humide. Ces champignons, comme le mildiou, l’oïdium, la fusariose s’installent sur les végétaux ou les fleurs et les font mourir à petit feu. Bien sûr, il existe des tas de produits dans le commerce pour en venir à bout, mais ils sont souvent chers et bourrés de produits nocifs. Heureusement, il existe un fongicide naturel pour se débarrasser des champignons facilement sur les végétaux. L’astuce est de pulvériser de l’eau bicarbonatée directement sur vos plantes » (https://www.comment-economiser.fr/bicarbonate-fongicide-naturel-pour-jardin-potager.html).

Rions-en

Le variant suisse reste neutre, quel que soit le test PCR, antigénique ou sérologique.

Le variant belge est dangereux : il finit très souvent par une mise en bière.

Ne craignez plus le variant chinois, il est cantonné ; on en rit !

Avec le variant italien, vous en prenez pour Milan.

De son côté, le variant écossais se tient à carreau.

Avec le variant japonais, il y a du sushi à se faire.

Le variant moscovite, on le viRusse.

Les Corses se racontent que leur variant s’attrape par l’écorce du bouleau harassant.

Pour le Bordelais, pas de souci on a les Médoc.

Le premier symptôme du variant breton, c’est quand on commence à entendre le loup, le renard et la belette chanter…

Le variant Travolta donne toujours de la fièvre, mais seulement le samedi soir.

J’en vins à trinquer plutôt que trinquer en vain

« Rien ne m’est plus déchirant que de voir Dieu constamment défiguré, comme une puissance extérieure au monde, non engagée dans notre vie, confite tout entière en elle-même, dans sa gloire et son bonheur, et jouant dans notre monde qui n’est rien pour Lui, dont Il n’a pas besoin, et qu’Il laisse se débattre dans les agonies que nous connaissons » (Maurice Zundel).