Définition de « de ouf » : 1) Tout à fait, d’accord. 2) Vraiment, beaucoup, bien. Exemple venant de Chloisdead : « La journée j’suis fatiguée de ouf mais vas-y, 20 h passée et j’suis en pleine forme, j’commence à être soulée ».
« De ouf » vient du verlan « de fou » ; c’est fou, hein ?
« L’enfant trouve son paradis dans l’instant. Il ne demande pas du bonheur, il est le bonheur » (Louis Pauwels ; j’ai changé ‘L’enfance’ en ‘L’enfant’).
Trois citations du Général de Gaulle sur la grandeur de la France :
« La France choisit le chemin nouveau […] S’il existe encore des Bastilles, qu’elles s’apprêtent de bon gré à ouvrir leurs portes. » (Discours d’Alger, 14 juillet 1943).
« J’entreprendrai […] de faire changer, partout où il le faut, des structures étroites et périmées, et ouvrir plus largement la route au sang nouveau de la France » (Allocution radiotélévisée en plein mai 1968).
« La grandeur est un chemin vers quelque chose qu’on ne connaît pas » (Les Chênes qu’on abat, avec André Malraux, 1971).
Pierre Dac a dit : « J’aime le vin d’ici mais pas l’eau de là. Et au cas où la vérité se trouve dans le vin, qu’elle y reste ! » D’ac avec votre ami Dac côté ?
Quand tu peux changer l’eau en vin, facile d’avoir 12 gars qui te suivent partout ?!…
« Tous les ans, au Festival de Cannes, les vedettes impalpables quittent la pellicule et s’offrent au regard des mortels » (Edgar Morin, Pour une politique de civilisation).
« Le palais des Festivals à Cannes, c’est un endroit où on applaudit les toilettes avant d’aller se faire chier » (Laurent Ruquier, Je ne vais pas me gêner).
« À Cannes, j’ai connu la fin de l’âge d’or. On est entré dans l’âge des Assedic » (Pascal Thomas, Le Grand Appartement).
« J’ai le sentiment de ne pas vivre vraiment, mais seulement exister. Je porte en moi une sorte de nostalgie que je n’arrive pas à décrire, la nostalgie de quelque chose qui semble perdu. J’ai l’impression de m’être arrêtée quelque part, d’avoir une part de moi inachevée » (Sabine Kuegler, L’enfant de la jungle).
« Les chasseurs gravent sur leurs flèches des signes permettant de les identifier. C’étaient parfois de véritables œuvres d’art. Mais leur beauté ne les empêchait pas de faire beaucoup de mal » (idem).
Rêvons : « Moi, dit la cathédrale, je voudrais être coureur à pied pour pouvoir lâcher mes béquilles. Moi, dit le pont, je voudrais être suspendu pour pouvoir sauter à la corde. Moi, dit l’imagination, je voudrais être riche pour pouvoir emmener l’Anselme en vacances. Moi, dit le Seine, je voudrais être mer pour avoir des enfants qui jouent dans le sable » (Jean L’Anselme, Il fera beau demain, 1952).
Charles 1er nous a déjà tant fait rêver : « Qui a eu cette idée folle un jour d’inventer l’école? C’est ce sacré Charlemagne, sacré Charlemagne, de nous laisser dans la vie, que les dimanches, les jeudis C’est ce sacré Charlemagne, sacré Charlemagne Ce fils de Pépin le Bref nous donne beaucoup d’ennuis Et nous avons cent griefs contre, contre, contre lui… »
« C’est par où le mur est crevassé que le margouillat grimpe » (proverbe africain).
« Une seule main ne peut grimper sur un arbre pour y cueillir les fruits » (autre proverbe africain).
« Amateur de cerises est précoce grimpeur » (proverbe allemand).
« L’heure a sonné de cesser de sommeiller, de s’emmêler. Il a fini par venir ce moment du réveil : un rêve, des ailes, … à la cime de l’arbre tendre, qui veille et pourvoit » (Maëlle Ranoux).