Vu ma tête ce matin, j’espère que ma
beauté intérieure va mener le bal !

La bibliothèque d'Étienne Chomé
Jeux du "je" jusqu'au coeur du coeur
Vu ma tête ce matin, j’espère que ma
beauté intérieure va mener le bal !
« Pour intégrer entièrement le principe masculin,
un homme doit assimiler dans son corps
les divines énergies féminines
que la femme peut lui délivrer »
(Barry Long).
Ah ! la lambada, ce méga tube brésilien de 1989 :
https://www.youtube.com/watch?v=iyLdoQGBchQ
dont voici les paroles traduites en français :
« En pleurant, il se souviendra de l’ amour
duquel il n’ a pas su s’ occuper un jour (bis)
Le souvenir ira avec lui où qu’il aille.
Le souvenir ira avec moi
où que j’aille pour toujours
Danseront le soleil et la mer
et je garderai dans le regard
que l’ amour fait perdre les rencontres.
La lambada sera souvenir de cet amour
qui, pour un jour, un instant, a été roi.
Chanson de rire et de douleur, mélodie d’ amour,
un moment qui reste dans l’ air ».
Image : fécondation
franco-allemande ?
Définition de « de ouf » :
1) Tout à fait, d’accord.
2) Vraiment, beaucoup, bien.
Exemple venant de Chloisdead :
« La journée j’suis fatiguée de ouf
mais vas-y, 20 h passée
et j’suis en pleine forme,
j’commence à être soulée ».
« De ouf » vient du
verlan « de fou » ;
c’est fou, hein ?
« L’enfant trouve son paradis dans l’instant.
Il ne demande pas du bonheur,
il est le bonheur »
(Louis Pauwels ; j’ai changé ‘L’enfance’ en ‘L’enfant’).
Tout pile :
« Je ne suis rien, je le sais,
mais je compose mon rien
avec un petit morceau de tout »
(Victor Hugo, Le Rhin, lettres à un ami, Lettre XXVIII).
Trois citations du Général de Gaulle
sur la grandeur de la France :
« La France choisit le chemin nouveau […] S’il existe encore des Bastilles, qu’elles s’apprêtent de bon gré à ouvrir leurs portes. » (Discours d’Alger, 14 juillet 1943).
« J’entreprendrai […] de faire changer, partout où il le faut, des structures étroites et périmées, et ouvrir plus largement la route au sang nouveau de la France » (Allocution radiotélévisée en plein mai 1968).
« La grandeur est un chemin vers quelque chose qu’on ne connaît pas » (Les Chênes qu’on abat, avec André Malraux, 1971).
Pierre Dac a dit :
« J’aime le vin d’ici mais pas l’eau de là.
Et au cas où la vérité se trouve dans le vin,
qu’elle y reste ! »
D’ac avec votre ami Dac côté ?
Quand tu peux changer l’eau en vin,
facile d’avoir 12 gars qui te suivent partout ?!…
« Tous les ans, au Festival de Cannes, les
vedettes impalpables quittent la pellicule
et s’offrent au regard des mortels »
(Edgar Morin, Pour une politique de civilisation).
« Le palais des Festivals à Cannes, c’est
un endroit où on applaudit les toilettes
avant d’aller se faire chier »
(Laurent Ruquier, Je ne vais pas me gêner).
« À Cannes, j’ai connu la fin de l’âge d’or.
On est entré dans l’âge des Assedic »
(Pascal Thomas, Le Grand Appartement).