« Jamais, on ne pourra oublier le lieu d’un bel amour, le décor d’une joie profonde ou le contexte d’une tendresse. C’est à travers de telles histoires que la géographie devient humaine » (Bernard Arcand).
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La bibliothèque d'Étienne Chomé
Jeux du "je" jusqu'au coeur du coeur
« Jamais, on ne pourra oublier le lieu d’un bel amour, le décor d’une joie profonde ou le contexte d’une tendresse. C’est à travers de telles histoires que la géographie devient humaine » (Bernard Arcand).
« Les différences linguistiques font partie intégrante de la culture humaine. Si nous voulons communiquer efficacement avec des personnes d’autres cultures, nous devons apprendre leur langue. Il en va de même dans le domaine de l’amour. Votre langage d’amour et celui de votre conjoint peuvent être aussi différents que le chinois de l’est et le français. Vous avez beau essayer d’exprimer votre amour en français, si votre conjoint de comprend que le chinois, vous ne saurez jamais que vous vous aimez. […] Il est rare que mari et femme aient appris la même première langue sentimentale. […] Notre besoin émotionnel le plus profond n’est pas de tomber amoureux, mais d’être authentiquement aimé d’autrui, de connaître un amour qui procède à la fois de la raison et de la volonté, et non d’un instinct. J’ai besoin d’être aimé par quelqu’un qui a choisi de m’aimer, qui voit en moi une personne digne d’être aimée » (Gary Chapman, Les langages de l’amour).
« Il fait beaucoup pour le monde celui qui panse ses blessures et pacifie son histoire » (Christiane Singer).
« Dès que cesse l’agrément d’être ensemble, beaucoup prennent les jambes à leur cou, ignorant que le plus beau de l’aventure va tout juste commencer : la construction d’un amour d’adulte » (Christiane Singer toujours).
Je goûte la paix et je savoure la confiance vécues lors de notre rencontre. Elles sont cadeaux, présents d’une Présence que j’ai reçue en ta présence ce jour-là et Présence que je sens encore maintenant. Elle se tient entre nous, comme une douce et simple nuée quand nous étions physiquement côte-à-côte, comme un arc-en-ciel rayonnant et paisible depuis que nous nous sommes quittés… Et je reste ainsi en lien avec toi, d’une manière merveilleuse et mystérieuse, sans savoir d’où me viennent ces débordements de joie et où ils me mènent…
« Il est des êtres dont c’est le destin de se croiser. Où qu’ils soient, où qu’ils aillent, un jour, ils se rencontrent » (Claudie Gallay).
« Le couple est notre laboratoire de croissance le plus intense, le plus complet, le plus complexe, potentiellement le plus dangereux comme le plus fertile. Il y a des moments aveugles. On a besoin d’outils, on a besoin de guides. Je trouve extraordinaire que notre pulsion de vie, notre instinct, notre intuition, notre désir nous poussent à essayer cette paire de vie, à la chercher, à la faire durer, à travailler pour la construire. Après, il nous reste à devenir compétents » (Florentine d’Aulnois-Wang).
Ramenée à son essentiel, la vie de couple est somme toute très simple :
1) Avant le mariage, éprouver l’unité, secouer le cocotier, en vérifiant bien qu’il n’y a pas erreur de casting.
2) Une fois mariés, nourrir l’accord des cœurs (l’accorité est un des plus beaux mots que j’apprécie dans le vocabulaire du créole mauricien), prendre soin de nos cœur-à-cœur et âme-à-âme, accueillir nos parts dans tous leurs manques et étroitesses, jusqu’à ce qu’elles se laissent combler par l’Amour et qu’elles s’ordonnent à la vie et à l’avis de nos âmes…
Merci, mon amour, d’être dans ma vie la gardienne de l’Amour véritable. C’est ainsi que Dieu t’a présenté à moi le 6/5/1988 : « celle qui va t’apprendre à aimer, vraiment et jusqu’au bout ».
Bon-jour / bour-jon / bourgeons !
C’est encore l’hiver, certes,
mais si l’on pénètre à l’intérieur,
sous l’écorce, là où la sève s’active,
elle est déjà là, la vie qui va gicler
et, dans moins de deux mois,
nous éclater en pleine face…
La Chandeleur
chante l’heure
des bourgeons
en gestation,
sortant très bientôt
de l’incognito,
émergeant du chaos,
célébrant l’inchoatif
du vivant hâtif,
à poils ou à tifs…
Chaleureuse fête de la Chandeleur
aux gens de l’hémisphère nord !
Et bonne traversée des Mauriciens et Réunionnais
des pluies et des vents du cyclone Batsirai, en pleine été…
Je vous rejoins dans 12 jours !
Signé : É tienne Chauds-mets
« Lorsqu’un homme et une femme apprennent à se respecter mutuellement et à accepter leurs différences, alors leur amour peut atteindre sa plénitude » (John Gray, de plein gré).
« Je ne suis pas parfait, tu n’es pas parfait et c’est parfait (Virginia Satir dans tous les sens).
« Prendre les hommes comme ils sont » (Plaute, qui ne plote ni ne pelote).
« Si la vie est un sommeil,
et l’amour en est le rêve,
vous aurez vécu
si vous avez aimé »
(Alfred de Musset).