Photo prise à partir du Morne, montagne mythique de l’île Maurice. En gratitude pour ces 6 années que nous y avons passées en famille + ces 15 années de séjours fréquents, pour nourrir CommunicActions Maurice !

La bibliothèque d'Étienne Chomé
Jeux du "je" jusqu'au coeur du coeur
Photo prise à partir du Morne, montagne mythique de l’île Maurice. En gratitude pour ces 6 années que nous y avons passées en famille + ces 15 années de séjours fréquents, pour nourrir CommunicActions Maurice !
Grâce à la sagesse de notre inconscient, nous « choisissons » un.e partenaire susceptible de rejouer avec nous dans le présent notre drame fondamental du lointain passé.
Nous tombons amoureux d’un.e qui a résolu partiellement le drame en développant des qualités auxquelles nous-même avons dû renoncer, petit.e, pour recevoir l’amour imparfait de nos parents.
Nous allons nous combler l’un.e l’autre dans la phase attractive.
Nous allons nous blesser, nous dégoûter dans la phase répulsive.
Nous sommes ensemble pour devenir adultes : chacun.e peut guérir, récupérer les talents qu’il a du sacrifier, petit.e.
À l’époque, nous avons eu du génie à construire ce programme de survie. Aujourd’hui, devenus adulte, notre génie est de découvrir comment lâcher nos programmes devenus obsolètes et goûter à la plénitude de cœurs réconciliés avec leur histoire.
Vive la condition humaine,
histoire d’incarnation
en route vers la plénitude.
« On va de l’amour à la vérité. Essayer de faire l’inverse, c’est vouloir planter un arbre à l’envers. […] On cueille la vérité sur l’arbre de la charité » (Paul Couturier).
« Quand il viendra, lui, l’Esprit de vérité, il vous guidera vers la vérité tout entière » (Jn 16,13).
Posté le dimanche de Pentecôte 31/5/20
« Désaccord ne veut pas dire désamour ! Respecter nos espaces propres ; l’art d’une juste distance dans une juste présence l’un à l’autre » (Étienne Chomé, La méthode C-R-I-T-E-R-E pour mieux gérer nos conflits, Presses Universitaires de Louvain, 2009, p. 44).
La méthode C-R-I-T-E-R-E, première étape : juste distance dans une juste présence
« Quelque chose en moi sait que rien ne peut m’arriver, que rien ne peut me détruire. C’est ce noyau infracassable en nous, ce noyau infracassable du divin en nous. Alors la peur cesse, et quand la peur cesse, il y a un drôle de morceau de moins d’horreur sur la terre !
Parce que la peur est la plus grande créatrice de réalités qui existe. Ce dont nous avons peur, nous le créons presque irrémédiablement. C’est quelque chose d’effarant. Vous avez dû le remarquer dans votre vie. La peur a le pouvoir d’engendrer images et réalités. Dans l’univers d’épouvante dans lequel nous vivons, tout tient par la peur. Il faut y répondre en congédiant en nous la peur, en reprenant contact avec ce noyau infracassable qui nous habite » (Christiane Singer).
« Quelque chose en moi sait que rien ne peut m’arriver, que rien ne peut me détruire. C’est ce noyau infracassable en nous, ce noyau infracassable du divin en nous. Alors la peur cesse, et quand la peur cesse, il y a un drôle de morceau de moins d’horreur sur la terre !
Parce que la peur est la plus grande créatrice de réalités qui existe. Ce dont nous avons peur, nous le créons presque irrémédiablement. C’est quelque chose d’effarant. Vous avez dû le remarquer dans votre vie. La peur a le pouvoir d’engendrer images et réalités. Dans l’univers d’épouvante dans lequel nous vivons, tout tient par la peur. Il faut y répondre en congédiant en nous la peur, en reprenant contact avec ce noyau infracassable qui nous habite » (Christiane Singer).
Marilyne Monroe a dit : « Nous sommes toutes des étoiles, il nous suffit juste d’apprendre à briller ».
Ne serait-ce pas plutôt : « Nous sommes toutes des étoiles, il nous suffit juste de vivre un infini merci à la source de notre brillance » ?
« Un jour, quand j’étais gamin, un sage m’a dit :
—Il ne te manque pas grand-chose pour pouvoir marcher entre les gouttes de pluie…
—Marcher entre les gouttes de pluie ?
—Entre les gouttes de la pluie, il y a des mystères qui descendent du ciel.
—Ah bon ? Comment fait-on ?
—Va te mouiller.
Je suis entré dans des pluies torrentielles, à en être trempé comme un oiseau qui sort d’un bain. Il me disait : « Maintenant que tu es mouillé, goûte la pluie ! »
J’ai passé un ou deux mois à me mettre dehors chaque fois qu’il pleuvait mais ça ne venait pas. Puis, j’ai compris que je la désirais d’une façon trop possessive. Je la voulais pour moi. Alors, je me suis donné à elle. Et lorsque je me suis donné à la pluie, à l’eau, tout s’est ouvert. L’humidité de l’univers, l’humidité de la femme, tout ce contact de conduction s’est ouvert.
Sentir chaque goutte de la pluie et dire merci, merci, merci ! » (Luis Ansa).
Dans son élan de type plus maternel, le parent t’entoure de ses bras, avec douceur et tendresse (mouvement horizontal).
Dans son élan de type plus paternel, le parent confirme l’existence et t’appelle à déployer ta propre bonne puissance (mouvement vertical).
Deux versions complémentaires du « je t’aime » parental.
Vivent les mères et les pères,
vive la paire à la mer !