« Oui », « Fiat », entrer dans la danse de l’Alpha et l’Omega de la vie

en reconnaissant     l’Alpha de la vie.

La vie, c’est quoi ?

Auteur : Guillaume Aldebert

C’est quoi, la musique ?
C’est du son qui se parfume.

C’est quoi, l’émotion ?
C’est l’âme qui s’allume.

C’est quoi, un compliment ?
Un baiser invisible.

Et la nostalgie ? Du passé comestible.
C’est quoi, l’insouciance ?

C’est du temps que l’on sème.
C’est quoi, le bon temps ?

C’est ta main dans la mienne.

C’est quoi, l’enthousiasme ?
C’est des rêves qui militent.

Et la bienveillance ?
Les anges qui s’invitent.

Et c’est quoi, l’espoir ?
Du bonheur qui attend.

Et un arc-en-ciel ?
Un monument vivant.

C’est quoi, grandir ?
C’est fabriquer des premières fois.

Et c’est quoi, l’enfance ?
De la tendresse en pyjama.

Mais dis, papa, la vie, c’est quoi ?
Petite, tu vois, la vie, c’est un peu de tout ça
mais surtout c’est toi, c’est toi.

C’est quoi, le remord ?
C’est un fantôme qui flâne.

Et la routine ?
Les envies qui se fanent.

C’est quoi, l’essentiel ?
C’est de toujours y croire.

Et un souvenir ?
Un dessin sur la mémoire.

C’est quoi, un sourire ?
C’est du vent dans les voiles.

Et la poésie ?
Une épuisette à étoiles.

C’est quoi, l’indifférence ?
C’est la vie sans les couleurs.

Et c’est quoi, le racisme ?
Une infirmité du cœur.

C’est quoi, l’amitié ?
C’est une île aux trésors.

Et l’école buissonnière ?
Un croche-patte à Pythagore.

C’est quoi, la sagesse ?
C’est Tintin au Tibet.

C’est quoi, le bonheur ?
C’est maintenant ou jamais.

Mais dis, papa, la vie c’est quoi ?
Petite, tu vois, la vie c’est un peu de tout ça
mais surtout c’est toi, c’est toi.

Dans tes histoires, dans tes délires,
dans la fanfare de tes fous-rires,
la vie est là, la vie est là,
dans notre armoire à souvenirs,
dans l’espoir de te voir vieillir,
la vie est là, la vie est là…

                                             Papa

Être ange gardien, en faisant de petites surprises agréables

Une bonne tradition familiale : chacun.e tire le nom d’un.e autre de la famille, pour être son « ange gardien » pendant tout le mois de l’Avent, en lui faisant de petites surprises agréables, comme pendre à la clinche de sa chambre un mot doux, mettre dans la poche de son manteau une parole valorisant une de ses attitudes appréciée, poser sur son bureau une photo, un  spéculoos de Saint Nicolas,…, etc., etc., etc.

Faire de même dans l’équipe de travail,
         qui devient les keep de trouvailles 😉

La bonté : ce qui désarme le plus les hommes

« Par-dessus toute chose, soyez bon ; la bonté est ce qui ressemble le plus à Dieu et ce qui désarme le plus les hommes. Vous en avez des traces dans l’âme mais ce sont des sillons que l’on ne creuse jamais assez. Vos lèvres et vos yeux ne sont pas encore aussi bienveillants qu’ils pourraient l’être et aucun art ne peut leur donner ce caractère que la culture intérieure de la bonté. Une pensée aimable et douce à l’égard des autres finit par s’empreindre dans la physionomie et par lui donner un cachet qui attire tous les cœurs » (Henri Lacordaire).

Bonté bon thé be good dis

« Par-dessus toute chose, soyez bon ; la bonté est ce qui ressemble le plus à Dieu et ce qui désarme le plus les hommes. Vous en avez des traces dans l’âme mais ce sont des sillons que l’on ne creuse jamais assez. Vos lèvres et vos yeux ne sont pas encore aussi bienveillants qu’ils pourraient l’être et aucun art ne peut leur donner ce caractère que la culture intérieure de la bonté. Une pensée aimable et douce à l’égard des autres finit par s’empreindre dans la physionomie et par lui donner un cachet qui attire tous les cœurs » (Henri Lacordaire).

The lovers together for ever

« Ceux qui s‘aiment par l’Esprit ne cesseront jamais de s’aimer. […] Ainsi, le sentiment de l‘amour, au lieu de s’arrêter en eux et de s’y endormir, ne fait que s’accroître et embraser leur cœur d’une flamme nouvelle. Ils s’élèvent toujours en s‘aimant jusqu’à Dieu » (Antoine Blanc de Saint-Bonnet, De l’unité spirituelle, 1845).

Réveiller le Feu sacré et nous porter dans les abris éternels

« Plus le cœur de l’homme est pur, plus la vue de celle qu’il aime le sanctifie. Elle est comme un talisman merveilleux qui l’initie aux enchantements de la vie immortelle. […] Comme l’artiste, la femme n’aspire qu’à réveiller en nous le Feu sacré. Elle se fait aimer pour porter le cœur de celui qui l’aime dans les abris éternels » (Antoine Blanc de Saint-Bonnet, De l’unité spirituelle, 1845).