François et Claire d’Assise, au plus intime, qui sont-ils l’un pour l’autre ? Cf. l’article « Claire et François, une amitié irradiante » : https://www.la-croix.com/Definitions/Figures-spirituelles/Sainte-Claire-d-Assise/Claire-et-Francois-une-amitie-irradiante. Ils partageaient la même soif ardente de suivre le Christ humble et pauvre, chacun éclairant et respectant la mission de l’autre.
« Claire trouva en François un maître avec ses enseignements et plus encore un ami fraternel. Cette amitié fut considérable car, lorsque deux âmes pures brûlent ensemble du même amour de Dieu, elles trouvent dans l’amitié un encouragement à la perfection. L’amitié est un des sentiments les plus nobles et élevés que la grâce divine purifie et transfigure » (Benoît XVI, dans sa catéchèse consacrée à Claire d’Assise en 2010).
1. Explorez la dualité du féminin et du masculin Les rimes en « elle » ont cette particularité d’évoquer souvent le féminin (elle, belle, demoiselle) tout en pouvant rimer avec des mots masculins (rebelle, carrousel, tunnel). Jouez sur cette dualité pour créer des contrastes saisissants dans vos vers. Par exemple : « Dans ce tunnel sombre, elle avance, Rebelle, belle, en pleine démence. »
2. Créez des néologismes en « elle » inspirés par la technologie Osez inventer des termes comme « cybelle » (pour une intelligence artificielle féminine), « pixelle » (l’unité de base d’une image numérique au féminin) : « Dans le monde virtuel de Cybelle, Chaque pixelle devient mortelle. »
3. Exploitez les sonorités des langues étrangères qui enrichissent votre palette sonore : « Sous son umbrella, la gazelle, Danse la tarantella, si belle. »
4. Jouez avec les mots-valises en « elle » « chatelle » (chat + demoiselle), « tourterelle » (tourtereau + elle), « caramelle » (caramel + elle) : ces créations lexicales apportent une touche d’humour et d’originalité : « La chatelle, féline et fidèle, Déguste sa caramelle. »
5. Utilisez la technique de la rime brisée Explorez la rime brisée, en divisant les mots. « Belle étincelle » peut rimer avec « rebelle elle », « fidèle aile » avec « modèle elle » : « Dans le ciel, fidèle aile, L’oiseau suit son modèle, elle. »
6. Inspirez-vous des noms de lieux en « elle » « De Marseille à Compostelle, De Bruxelles à La Rochelle, Son cœur cherche l’étincelle. »
7. Mamzelles, explorez les diminutifs et les surnoms affectueux « Prunelle de mes yeux, ma belle, Tu es ma flamme éternelle. »
Que vos rimes en « elle » résonnent comme des notes cristallines dans la symphonie de votre poésie. Que chaque vers soit une nouvelle aile pour votre imagination !
Brocatelle : La brocatelle est une étoffe de soie brochée d’or ou d’argent, imitant le brocart mais plus légère. Originaire d’Italie, elle était très prisée aux XVIe et XVIIe siècles pour la confection de vêtements luxueux et de tentures. Sa fabrication complexe implique un tissage élaboré créant des motifs en relief. Aujourd’hui, le terme s’applique aussi à des tissus d’ameublement moins précieux mais conservant un aspect similaire.
Définition décalée: Le tissu qui fait croire que vous êtes riche, même si votre compte en banque dit le contraire.
Lors d’une leçon de jardinage sur le bon usage des graines, Tistou découvre qu’il a un don : celui de faire pousser des fleurs. Depuis lors, il use de son pouvoir de fleurir le monde qui l’entoure. Cf. ‘Tistou les pouces verts’, conte fleuri de Maurice Druon.
« Pasteurs, vous qui allez là-haut par les bergeries vers le sommet, si d’aventure vous voyez celui que moi tant j’aime, dites-lui que je languis, je peine, et je meurs…
Cherchant mes amours, j’irai par ces monts et rivages. Je ne cueillerai pas les fleurs, je ne craindrai pas les fauves et je passerai les forts et frontières » (Jean de la Croix).
« Quiconque arrose dans son coeur la plante de l’Amour n’a pas un seul jour de sa vie qui soit inutile » (Omar Khayyam, La rose de l’Amour).
Savez-vous qu’il n’est pas correct de dire que les roses ont des épines ? Elles ont des aiguillons, excroissances piquantes qui naissent de leur épiderme (que l’on peut facilement enlever, à la différence des épines).
Aiguillons et épines sont tous deux une adaptation des plantes (y compris des tomates et des aubergines) pour mieux garder l’eau mais surtout, d’abord, pour mieux se défendre des herbivores. À quoi certains animaux, comme les chameaux et les chèvres, ont répliqué avec des langues toujours plus râpeuses. Pour en savoir plus sur les essais de scientifiques d’identifier les gènes en vue de faire pousser des roses sans piquants, cf. https://www.inrae.fr/actualites/aiguillons-du-rosier-sujet-epineux.
« Donne-moi ta bouche et tes yeux que je m’y perde pour toujours » (Édith Piaf, Mon amour bleu).
Une femme déclara à Gandhi : « je suis amoureuse de vous ». Il répondit : « Je ne mérite pas votre amour, mais mon frère derrière vous, qui est plus jeune et plus beau que moi, oui ». Elle regarda en arrière et ne vit personne… « Si vous étiez amoureuse de moi – conclut Gandhi –, vous n’auriez pas regardé en arrière ».
Cet été, j’ai changé de coupe de cheveux, avec une houppette à la Tintin. Et ce matin, m’est revenu la chanson d’Elvis Presley « Love me tender » ? ? ?
Love me tender Love me sweet Never let me go You have made my life complete And I love you so
Love me tender Love me true All my dreams fulfill For my darlin’ I love you And I always will
Love me tender Love me long Take me to your heart For it’s there that I belong And we’ll never part
Love me tender Love me dear Tell me you are mine I’ll be yours through all the years ‘Til the end of time
« L’amour est un oiseau rebelle que nul ne peut apprivoiser. Et c’est bien en vain qu’on l’appelle s’il lui convient de refuser » (Henri Meilhac).
« Dieu tel l’animal que l’on tente d’apprivoiser, qui toujours rompt la longe par laquelle on tente de le domestiquer, regagnant les contrées sauvages, inaccessibles à qui a perdu l’innocence » (Edouard Brasey).
Jésus a mal fini, crucifié sur une croix, car il a choqué et même scandalisé les dépositaires orthodoxes de la Révélation, tandis que les gens réputés de mauvaise vie se pressaient autour de lui, fascinés par sa Bonne Nouvelle : notre Père fait de nous tous de véritables frères et sœurs. Il nous appelle à la conversion pour nous ouvrir à un Royaume où ceux qui veulent être les premiers seront finalement les derniers…
Ce message est tellement habituel dans la bouche d’un prêtre en chair de vérité qu’il passe alors en ronronnant. Mais, hors des églises, par quel procédé diabolique scandalise-t-il quand il sort de la bouche de déjantés qui vivent surtout la nuit, férus de bacchanales de tous types, quand il sort de la bouche d’écorchés par la vie et de méprisés par la société ? Les bien-pensants auraient-ils plus le droit qu’eux d’occuper une place à la Cène du Jeudi Saint ? Ou les Barrabas d’aujourd’hui qui dénoncent violemment les J.O. comme « du pain et des jeux » / opium du peuple assujetti ? Merci aux victimes d’injustice et marginalisés de tous poils quand ils choisissent d’autres armes que le terrorisme pour secouer les bonnes consciences !
Jésus a véritablement créé le scandale, notamment en chassant les marchands du Temple, appelant à une conversion du cœur et de l’intelligence en faveur d’une relation vraie avec notre Père. Voir mon article ici :
Bacchanale grecque ou Sainte Cène ? Quelles étaient les références des artistes qui ont fait ce tableau si polémique de la cérémonie d’ouverture des J.O. à Paris ? Ma question est ailleurs : la Bonne Nouvelle peut-elle retentir ? L’Évangile peut-il être entendu ? Quel est-il vraiment ? Les personnes bigarrées qui ont animé ce tableau m’ont beaucoup dérangé et je les remercie pour ce choc salutaire. Je les remercie d’avoir scandalisé autant de personnes socialement respectables. Quelle magnifique opportunité pour l’Esprit Saint de reposer à chaque personne la question de Jésus : « Pour toi, qui suis-je ?… Convertis-toi et crois en la Bonne Nouvelle de la réconciliation authentique de toutes et tous en Lui… »
Merci à ces passionnés de pop-culture, personnes hors normes, en surpoids, drag-queen, d’avoir offert leur regard sur nos valeurs communes d’inclusion, de générosité, de solidarité et de liberté. « Notre intention était de montrer de la tolérance et de la communion » (Anne Descamps, porte-parole de Paris 2024). Merci d’avoir créé un espace-temps au coeur de ces jeux olympiques dans lequel peut exploser à nouveau frais la bombe de l’Évangile. Son message de communion fraternelle est révolutionnaire (ré-love-Uturn), qui n’a plus rien de ronronnant à nos oreilles quand nous souffrons à cause de notre proche ennemi ; c’est du concret entre extrême gauche et élites économiques et politiques qui défendent leur désordre établi, entre Israéliens et Palestiniens, Russes et Ukrainiens, Rwandais et Congolais, etc. Tout est grâce : appel à la conversion et occasion de salut, non ?
Si ce message fait sens pour toi, n’hésite pas à le partager !