Moins je me comporte en proie apeurée, moins je risque de finir en chair à pâtée dans la gueule du lion !
Plus je brouille le modèle de relation duale prédateur / proie, moins le molosse qui court vers moi fera son métier.
Moins je donne les réponses attendues d’une proie, plus je fais dérailler le scénario classique.
Personnellement, j’adore avancer résolument vers le molosse, en poussant les cris tonitruants de ma ménagerie intérieure (éléphant, singe et le plus efficace étant le coq)…
Pour approfondir la corrélation entre passivité et violence et ce qui permet de sortir d’une relation victime / agresseur, lire mon article :