« Vous vous rappelez, à l’époque, avant internet ?
On pensait que toute cette stupidité collective
était due à un manque d’accès à l’information.
Bon ben ! c’était pas ça… ».
Source : lu sur le net (c’est tout dire !).

La bibliothèque d'Étienne Chomé
Jeux du "je" jusqu'au coeur du coeur
« Vous vous rappelez, à l’époque, avant internet ?
On pensait que toute cette stupidité collective
était due à un manque d’accès à l’information.
Bon ben ! c’était pas ça… ».
Source : lu sur le net (c’est tout dire !).
Ton visage, nous l’aimions ! On t’y voyait en entier,
Il était la fenêtre qui ouvrait sur ta lumière
Il était la porte qui nous invitait chez toi !
Ton visage d’amour : le voir nous suffisait.
Nous étions sûr de ta tendresse et de l’offrande
que tu faisais de toi, simplement, sans rien dire,
pour nous donner du bonheur chaque jour.
Maintenant ton visage échappe à nos yeux et à nos mains
pour s’inscrire, invisible mais présent, dans notre cœur.
Entre nous il n’y aura plus de face-à-face
jusqu’au jour où, nous retrouvant tous sur l’autre rive,
nos visages seront transfigurés devant la face de Dieu.
C’est vers Dieu que désormais ton visage sera tourné.
En sa présence, il trouve sa définitive beauté !
(Merci Monique Rodjo pour ce partage si précieux.)
« Et pourtant mon cœur n’a pas de rides »
(Madame de Sévigné).
Le renard et les raisins, fable de Jean de la Fontaine :
« Certain renard gascon, d’autres disent normand,
mourant presque de faim, vit au haut d’une treille
des raisins mûrs apparemment,
et couverts d’une peau vermeille.
Le galant en eût fait volontiers un repas…
Mais comme il n’y pouvait atteindre :
ils sont trop verts, dit-il, et bons pour des goujats.
Fit-il pas mieux que de se plaindre ? »
Un obstacle sur notre route
et nous voici en train de réinterpréter la réalité,
histoire de disposer de bonnes raisons d’abandonner…
Pas chouette ce que nous nous faisons,
c’est pour notre pomme…
Dans le dictionnaire, je suis tombé sur le mot
« Indéfinissable ». Et y avait une définition !
Ils se paierait pas notre tête ?
« Mon cher, quel que soit le système politique,
les hommes de pouvoir sont toujours des parleurs »
(Georges Duhamel, Vie et aventures de Salavin).
« Il ne faut pas jouer avec la langue française.
Personnellement, jeu de mots-torise
aucun calembour » (Grégoire Lacroix).
Circulez, tambourins, il
n’y a aucun bal-en-cours !
« On prend souvent pour de la passion
une impatience passagère du cœur »
(Victor Cherbuliez).
Le 2 octobre est jour de fête nationale en Inde :
c’est le Gandhi Jayanti / Gandhi Day.
« La voie de la non-violence véritable
exige beaucoup plus de courage
que celle de la violence »
(Mohandas Karamchand Gandhi,
né le 2 octobre 1869).
« Se réunir est un début ;
rester ensemble est un progrès ;
travailler ensemble est la réussite »
(Henry Ford, décédé en 1947).
Dans l’image ci-jointe,
ils se la coulent douce
= forme elliptique de
« couler une vie douce ».
Comment l’équipe apostolique est passée de douze à onze ? Pas douce et pas cool, notre liberté quand elle coule l’équipe ! Mes choix ont un impact réel sur ma famille, mes cercles d’amitié, de travail…
« Le moindre mouvement importe à toute la nature : la mer entière change pour une pierre. Ainsi, dans la grâce, la moindre action importe pour ses suites à tout. Donc, tout est important » (Pascal, Pensées).
« Tout nous peut être mortel, même les choses faites pour nous servir, comme dans la nature les murailles peuvent nous tuer, et les degrés nous tuer, si nous n’allons avec justesse » (Pascal, Pensées).
« J’ai maintenu ma vie,
en voyageant parmi les arbres jaunes,
selon les pentes de la pluie,
sur des versants silencieux,
surchargés de feuilles de hêtre.
J’ai maintenu ma vie,
en chuchotant dans l’infini silence »
(Georges Séféris, Epiphania).