Encore quelques places au séminaire que j’anime ce WE (à Maurice), où nous travaillerons particulièrement le « communalisme », nos réflexes communautaires lor nou ti zil la, à partir d’un point de vue tout différent que d’habitude…
Bienvenue, vou zot tou. Plus il y aura de la diversité entre nous, mieux ce sera.
Encore quelques places au séminaire que j’anime ce WE (à Maurice), où nous travaillerons particulièrement le « communalisme », nos réflexes communautaires lor nou ti zil la, à partir d’un point de vue tout différent que d’habitude…
Bienvenue, vou zot tou.
Plus il y aura de la diversité entre nous, mieux ce sera.
« Moscou est belle comme une sainte napolitaine. Un ciel céruléen reflète, mire, biseaute les mille et mille tours, clochers, campaniles qui se dressent, s’étirent, se cabrent » (Blaise Cendrars, Moravagine,1926, p. 92).
Nos vignes ont besoin d’être taillées, émondées, pour porter plus de fruits. Nos diamants méritent d’être biseautés pour être mis en valeur. Bienheureux et en marche qui accepte d’être taillé en biseau !
Les projets du Diviseur se fracassent contre un couple uni, qui vit l’amour jusqu’au bout. Une telle alliance dans l’Alliance : un beau contrepoint à cette ‘pomme’ de discorde originelle !
Quel fut le prêtre célébrant et ‘homéliant’ ? Ah, c’est lui qui fit l’homélie ! L’homme est liant !
« Si tu es sage, montre-toi vasque et non pas canal Un canal reçoit l’eau et la répand presque tout de suite. Une vasque, en revanche, attend d’être remplie et communique ainsi sa surabondance sans se faire de tort… Mais tu vas me dire : ‘La charité ne cherche pas son avantage’ (1 Co 13,5). Oui, mais sais-tu pourquoi ? Elle ne cherche pas son avantage, parce qu’elle ne manque de rien. Qui chercherait ce qu’il possède déjà ? La charité n’est jamais dépourvue de son avantage, à savoir de ce qui est nécessaire au salut » (Bernard de Clairvaux).
« Si tu te sens triste, si tu as peur ou si tu ressens une tension dans ton corps, pour un moment seulement, arrête de vouloir t’en débarrasser. Oublie aussi d’essayer d’ « élever ta vibration » ! Au lieu de cela, reste simplement avec cet inconfort. Sois curieux de lui. Sois indulgent avec lui. Respire en lui. Donne-lui de l’espace, un peu de temps. Oublie de le comprendre, de « lâcher-prise », et de l’ « arranger » aujourd’hui et permets-lui simplement d’être ici aussi longtemps qu’il a besoin d’être ici. Laisse-le rester s’il veut rester. Laisse-le partir s’il veut partir. Laisse-le revenir s’il veut revenir. Traite-le comme un hôte bienvenu dans la vaste maison de repos de ton être, un enfant bien-aimé qui en fait véritablement partie » (Jeff Foster).
« Ceux qu’on appelle des saints n’ont pas peur de souffrir, ils n’ont pas peur non plus de jouir. À l’inverse, dommage d’avoir peur sans cesse de souffrir autant que de jouir vraiment, c’est-à-dire d’éviter ce que la vie a de plus doux et de plus douloureux. La peur plus que la haine est bien le contraire de l’amour, la peur d’aimer, de se perdre, de mourir… Les verbes s’enchaînent, cascades où s’approfondit le chant de la Source. Il n’y a là aucune recherche de la souffrance, de la maladie, de la persécution ou de la mort, simplement une grande liberté quand des évènements désagréables ou agréables se présentent à nous, en faire une occasion d’aimer encore et davantage, sans s’y attacher, sans se rendre dépendant. Dans un cas comme dans l’autre, il s’agit d’être libre, de ne pas nous identifier à ce qui nous fait souffrir, à ce qui nous fait jouir, à ce qui nous terrorise ou à ce qui nous extasie » (Jean-Yves Leloup).
En Turquie, c’est une grave impolitesse de trinquer en levant son verre au même niveau qu’une personne plus âgée : il convient de placer mon verre plus bas que le sien.
Le même hochement de tête signifiera « oui » pour un Québécois et « non » pour un Grec !
« Vous vous rappelez, à l’époque, avant internet ? On pensait que toute cette stupidité collective était due à un manque d’accès à l’information. Bon ben ! c’était pas ça… ». Source : lu sur le net (c’est tout dire !).