« Qu’est-ce que le succès ? C’est de pouvoir aller dormir chaque soir L’ÂME EN PAIX » (Paulo Coelho).

La bibliothèque d'Étienne Chomé
Jeux du "je" jusqu'au coeur du coeur
« Qu’est-ce que le succès ? C’est de pouvoir aller dormir chaque soir L’ÂME EN PAIX » (Paulo Coelho).
« Le voyage mystique nous conduit à l’intérieur de nous, à une Flamme sacrée en notre centre » (Marianne Williamson).
Un des charismes reconnus de mon cher papa décédé a été de voir loin à partir du proche ! Ça se dit en moi que ça a du l’aider dans son grand passage.
Take care, Dad…
« L’art de vivre ensemble,
ce n’est pas l’art de supprimer les conflits,
mais c’est l’art de supprimer la violence
dans nos conflits » (Chomé Étienne, La méthode C-R-I-T-E-R-E pour mieux gérer nos conflits, Presses universitaires de Louvain P.U.L., 2009, p. 35).
Se prendre pour une banane =
se dit de quelqu’un qui pensait réussir
facilement une épreuve, un examen, une
tâche, mais qui échoue lamentablement !
Un éléphant, ça trompe énormément.
Un Donald Trump, ça te dit avoir la banane mais ne serait-ce
pas aigle-gris aigri qui trump énormément ?
En sanskrit ‘guru’ désigne un maître spirituel, au sens noble du terme.
En Occident, gourou est souvent employé pour parler d’une personne qui exerce une subtile emprise sur d’autres.
Un véritable guide spirituel renforce la capacité de conscience et de choix personnel de chaque personne rencontrée.
« Ce qui me permet de suivre aujourd’hui Jésus comme un Maître, c’est précisément qu’il ne promet pas l’évitement du risque.
C’est ce crédit qu’il accorde au réel, sa plongée inconditionnelle dans la complexité du monde et de l’âme humaine, sans tenter de nous y soustraire, de la résoudre ou de la contourner. Voilà les seules paroles qui puissent me toucher, me rejoindre.
Vivre la paix d’une bénédiction originelle pour ne pas céder aux tranquillités qui nous privent de la grâce de savoir être dérangés »
(Marion Muller-Colard, L’intranquillité).
Cf. aussi https://etiennechome.site/pour-que-ou-parce-que/
« Fâchée avec mon Dieu imaginaire qui avait rompu sans préavis mon contrat inconscient de protection, je manquais de secours spirituel. Je ne trouvais pas de prière qui puisse être autre chose qu’une immense contradiction, une négociation régressive avec la peau morte d’un Dieu qui ne tenait pas.
Pourtant, lorsque je caressais, du bout des doigts, le visage bleu et enflé de cet enfant presque étranger, dans le roulis devenu rassurant de l’oxygène qui lui parvenait machinalement, j’étais parfois saisie par une sérénité démente. Il arrive que l’impuissance ouvre sur des paysages singuliers.
La détresse m’avait dilatée et, en quelque sorte, elle avait élargi ma surface d’échange avec la vie. Et près de ce petit corps, se superposait à ma supplication muette pour qu’il vive, la conviction profonde que, ‘quoi qu’il arrive’, ce qui était incroyable et sublime, c’était qu’il fût né. Et que cela, jamais, ne pourrait être retiré à quiconque. Ni à lui, ni à moi, ni au monde, ni à l’histoire.
Je mis du temps à comprendre que cette clairvoyance fulgurante était peut-être la première véritable prière de ma vie.
[…] En dépit des relents de superstition qui me saisissent parfois, en dépit de mon petit négoce intérieur qui n’en finira jamais tout à fait de marchander avec un Dieu imaginaire, j’ai entrevu un Autre Dieu qui ne se porte pas garant de ma sécurité, mais de la pugnacité du vivant à laquelle il m’invite à participer » (Marion Muller-Colard, L’autre Dieu).
Pour creuser : https://etiennechome.site/pour-que-ou-parce-que/
« C’est au centre de ton cœur
que la vie commence,
c’est le plus bel
endroit du monde »
(Rûmi).
« C’est l’année de mes quarante ans que je suis devenu complètement fou. Auparavant, comme tout le monde, je faisais semblant d’être normal » (Frédéric Beigbeder).
« Quarante ans, c’est la vieillesse de la jeunesse, mais cinquante ans, c’est la jeunesse de la vieillesse » (Victor Hugo).
« Passé quarante ans, un homme est responsable de son visage » (Léonard de Vinci).
« Pour une femme, quadragénaire est une torture, la fin » (Grace Kelly).
Quarante ans : selon le Talmud, c’est l’âge où l’on commence à pouvoir lire la Bible avec sagacité…