Listening to the warnings, before conflict’s deterioration

The Chinese word CRISIS combines the words « wei » (DANGER) and « ji » (OPPORTUNITY FOR CHANGE), to signify a tipping point, a decisive moment: the role of the crisis is to make even more obvious the necessity to make the right changes, which require courage since it means giving up things that we have got used to. The alarm bells of the conflict stop ringing once we have invested in peace opportunities to the point that the danger has passed, without making us fall into the violence of war. It is then (and only then) that we can be proud of having managed the crisis well, of having escaped a conflict that degenerates into war.

Cf. Étienne Chomé, The C-R-I-T-E-R-E method for improved conflict management, Presses Universitaires of Louvain, 2009, p. 39.

Clefs des remèdes internes aux infections ?

D’après mon expérience, la santé est d’abord et avant tout une dynamique de soins internes ; le commun des mortels ne subit en la matière aucune fatalité imposée de l’extérieur. Aussi, je souhaite que les médias officiels donnent davantage de place aux voix qui présentent les voies du déploiement des ressources internes et les clefs des remèdes internes aux infections.

Je suis alerté par plusieurs censures de voix alternatives au mainstream sanitaire du moment ! Sans animosité ET avec fermeté, nous avons la responsabilité d’apporter notre modeste contribution, chacun.e à sa juste place, n’est-ce pas ?

Dans mon métier (la gestion des conflits), la paix se gagne essentiellement en amont du déclenchement des hostilités violentes. Je fais la même expérience pour ma santé : c’est en amont de la maladie, de la crise extrême, de l’urgence que nous construisons à l’intérieur de nous les bases solides d’une bonne santé. Nos fondations solides internes se mettent en place avant même tout contact avec « le » virus, non ?

Apprenti-sorcier < > Apprenti-connecté

En 20 ans, je n’ai eu besoin d’aucun congé de maladie : les agents pathogènes entrent en moi, sans s’y installer. Il y a eu un avant et un après quand j’ai appris à prendre au sérieux mon corps dans ses ressources de vie, tel le tournesol qui s’aligne constamment sur le soleil et qui plonge ses racines là où la terre lui donne vie.

Je n’ai plus eu besoin des pilules chimiques de l’industrie pharmaceutique, devenus à mes yeux des coups de pinceau rajoutés de l’extérieur sur le tableau clinique de ma santé..

Mon corps, mon cœur, mes tripes sont d’excellents médecins qui savent ce dont ils ont besoin, quand on les laisse s’aligner aux lois de la vie, à ses ressources naturelles généreusement disponibles. « on » = mes parts contrôle, les apprentis-sorciers en moi. Heureusement, ceux-ci peuvent se mettre humblement de côté quand mon Self connecté à la Source joue son rôle de chef d’orchestre et qu’il laisse le génie créateur créatif à l’œuvre.

Sagesse que semblent vivre tous les êtres vivants, des lis des champs délices aux oiseaux du ciel (Mt 6,26.27) ! Sagesse qui risque d’échapper aux apprentis-sorciers dans leur superbe robe de puissance, rehaussée de science (Luc 1,51.52) ?

Je ne prétends pas avoir la vérité, j’exprime la vérité que je vis, simplement, une réalité partagée par d’autres, autour de moi…

Merci de vous exprimer si vous la vivez aussi, peu ou prou…

Il a « fallu » que je perde ta joyeuse présence…

« Les larmes sont nobles, elles sont le dernier revêtement d’un visage avant qu’il ne devienne pierre. C’est ce qui l’empêche de devenir pierre. Ce sont les bijoux de la vie, elles sont hors de prix, tellement hors de prix qu’elles sont gratuites… » (Christian Bobin).

« Jadis les princes sortaient de leurs palais en grand arroi : carrosses, chevaux, valets, étendards, parades de toutes sortes. Le mot désarroi vient de là. Être en désarroi c’est être privé d’escorte, avancer dans une vie dépouillée de tout revêtement de force » (Christian Bobin, L’inespérée, p. 13).