La ‘vraie vie’ nous offre un vrai cinéma, avec des films à gogo ?… À gauche : Les seigneurs du chaos ? Les saigneurs de blaireaux ? Games Of Ring? Les 4 cavaliers de l’apocalypse ? Les 4 fantastiques de l’enfer à l’envers ? Les mercenaires / mer-c’est-nerf ?
À droite : Les charlots ? La folie des glandeurs / grandeurs ?
Les USA ont perdu leurs tours. Puis UK a perdu sa reine. Mais en tous cas, on garde les fous en échec, bel àtout …casser…
The Bible teaches us that the light of Truth and Love prevails over the Forces of Evil like the dawn: a gentle daybreak dispelling the darkness, without fighting, without noise, humbly AND at the same time irresistibly, in the quiet strength of righteous power. This is recounted in the very last book of the Bible. Cf. my article: Revelation reveals the radical asymmetry of ends and means between the God of Jesus Christ and the Prince of this world. Excerpt:
‘The ‘last of the last’ of wars will resemble the implosion of a house of cards. The last book of the Bible, the Apocalypse of Saint John, speaks of the battle of Armageddon at the end of time. Spontaneously, our imaginations expect this final battle between the Forces of Good and Evil to be grandiose, on a par with the bloodiest mythological tales. The seventh art has made a spectacle of it, and the special effects of the most recent films add to the horror. Yet the biblical text tells a sobering tale of a non-battle: ‘The spirits of the demons gathered them to Armageddon. Out of the temple came a loud voice from the throne: it is done! The great city was broken into 3 parts and the cities of the nations collapsed’ (Rev 16:16-19). The loud voice signals the coming of God, before whom everything that has no eternal value crumbles like a house of cards, fragile on the inside. It implodes from its hollow belly, from its inanity.
Here’s what Wilbert Kreiss had to say: ‘Strange! We’re witnessing a general mobilisation and we’re expecting a terrible confrontation, a truly apocalyptic war, and nothing happens! There’s no fighting. There is no eschatological war between Christ surrounded by his angels and the infernal hordes mobilised by Satan. There has never been and there never will be a battle on the mountain of Megiddo. The battle of Armageddon, the millenarian’s violin d’Ingres, is not an event, but a non-event, and that is why it is not recounted in the text. Nor is the simulacrum of war mentioned in Revelation 20:7-10, which is nothing but a farce”
In the chapters preceding this bizarre war, the Johannine Letter plunged us into an appalling outburst of violence, with its attendant suffering and oppression. But their frenzied rage, enacted to its climax, is the very harbinger of their imminent self-destruction, like a fire dying of starvation. Finding nothing left to burn, it burns itself out at the end of its mad race. At the end of time, Evil will no longer find the answer it needs to survive. Throughout history, it has succeeded in inflaming the hearts and minds that have fuelled its infernal inferno. He has seduced the world, and he has also led the forces of the Church astray, dragging them along in this race to his doom. In the same apocalyptic vein, the Book of Daniel also warned of this fury linked to the end of the world, of these final jolts of a beast that dies after spitting out its venom. After the gesticulations of its last-ditch struggle, evil will no longer be able to achieve its goal, which is to generate evil. It will find itself alone, in the prison it has built for itself. […] The Prince of Darkness and his emissaries can give nothing but things that they have received from their Creator and perverted. Satan would so much like us to take him for the Saviour of the world, but he is the wolf in the clothing of Little Red Riding Hood’s grandmother… Revelation warns us by revealing the inconsistency and evil of his anti-creation project. His works are antics and deception. They are a sham. He will be like a beast that dies after spitting its venom’.
L’image ci-jointe reprend le tableau de Viktor Vasnetsov (1887) mettant en scène les quatre cavaliers de l’Apocalypse : Mort, Famine, Guerre et Conquête, surplombées par l’Agneau, dans sa victoire pascale, dans sa paix et sa confiance en décalage complet avec leurs maux et violences.
Paix et confiance !
« Alors j’entendis dans le ciel une voix forte, qui proclamait : « Maintenant voici le salut, la puissance et le règne de notre Dieu, voici le pouvoir de son Christ ! Car il est rejeté, l’accusateur de nos frères, lui qui les accusait, jour et nuit, devant notre Dieu ». Eux-mêmes l’ont vaincu par le sang de l’Agneau, par la parole dont ils furent les témoins ; détachés de leur propre vie, ils sont allés jusqu’à mourir. Cieux, soyez donc dans la joie, et vous qui avez aux cieux votre demeure ! Malheur à la terre et à la mer : le diable est descendu vers vous, plein d’une grande fureur ; il sait qu’il lui reste peu de temps » (Apocalypse 12,10-12).
« Avec l’âge vient la sagesse, mais parfois l’âge vient seul » (Oscar Wilde).
Quel est l’anagramme de ‘collusion’ ? = ? ‘couillons’ ! Ça peut coûter cher, Trump et Musk en politique, Bid rigging dans les marchés publics, Monsanto et scientifiques soudoyés dans l’étude des effets du glyphosate, etc.
Quelques guerres picrocholines seraient-elles en vue ?
Picrocholines ? C’est Rabelais qui inventa le mot dans son fameux roman ‘Gargantua’ : Picrochole était en conflit d’intérêt et donc en guerre avec Grandgousier, dans d’innombrables péripéties burlesques, aux motifs tout à la fois insignifiants et abscons.
« Ce mensonge constant n’a pas pour but de faire croire au peuple un mensonge, mais de s’assurer que plus personne ne croit plus rien. Un peuple qui ne peut plus rien croire ne peut se faire une opinion. Il est privé non seulement de sa capacité d’agir mais aussi de sa capacité de penser et de juger. Et avec un tel peuple, vous pouvez faire ce que vous voulez » (Hannah Arendt).
Avez-vous connaissance des travaux du Docteur Elisabeth Chevassus sur Marthe Robin, qui mettent à jour son profil psychologique perturbé et mettent en cause les miracles de sa vie spirituelle ? Voir https://www.facebook.com/profile.php?id=61564663104594 ou https://youtu.be/vVlPU6RBpGsmystique.
L’intérêt de tels travaux est d’avertir des dangers du faux prophétisme quand, par réputation, ‘on’ attribue à un être humain la grâce d’être dépositaire d’une parole divine (Dieu parle par sa bouche) et on le laisse exercer un pouvoir sur le for interne de personnes accompagnées (« j’entends un appel à ce que tu deviennes prêtre / religieuse ») ou on accepte des déviances communautaires (« il est normal que tu travailles gratuitement dans la communauté » ; « il est bon qu’en y entrant, tu donnes tout ton argent »…).
Elisabeth Chevassus insiste sur les manières de Dieu qui collabore avec chaque personne devant un choix à faire, dans un réel respect de son libre-arbitre et un profond désir de son accomplissement. Attention dans ce discernement aux subtiles manipulations d’une tierce personne, sous couvert du charisme de prophétie !
Dans l’image, voyez le bateau original conçu par un Français (Julien Berthier) : un bateau qui ne coule pas tout en donnant l’impression qu’il coule. C’est avec componction que je l’ai appelé « Méa », parce que mea culpa…
Définition de componction = tristesse produite par les effets du repentir, le regret d’avoir offensé Dieu.
Ce n’est pas bateau = Expression qui veut dire ‘Ce n’est pas banal’.
Exemple : Un sujet bateau est une question banale, un sujet ordinaire, rebattu, sans originalité..
« J’aime flâner dans les bibliothèques ou les librairies, prendre les livres qui m’attirent, les abandonner quand ils m’ennuient, sauter les passages qui traînent… Un livre qui vous ennuie à vingt ou trente ans, vous ouvrira ses portes quand vous en aurez quarante ou cinquante, et vice versa. Ne lisez pas un livre quand ce n’est pas le bon moment pour vous » (Doris Lessing, Le Carnet d’or, 1976).
« Cet été, sur la plage, Il y avait un monsieur qui riait ! Il était tout seul, Il riait ! Il riait ! Ha, ha, ha ! Il descendait avec la mer . . . Ha, ha, ha ! Il remontait avec la mer . . . Ha, ha, ha ! Je lui dis : – Pourquoi riez-vous ? Il me dit : – C’est le flux et le reflux . . . Je lui dis : – Eh bien, quoi, le flux et le reflux ? Il me dit : – Le flux et le reflux me font « marée » ! » (Raymond Devos).