« Ce n’est pas la souffrance de Jésus qui sauve, c’est l’amour avec lequel il a vécu cette souffrance ! c’est tout autre chose » (Yves Congar).
La violence, même dans ses formes légitimées, nous éloigne du Royaume d’Amour qui vient par l’amour dont font preuve les victimes des violences dont sont capables les hommes.
La violence qui n’a rien de divin a été désacralisée par ce Jésus de Nazareth qui a soigné jusqu’au bout au lieu de saigner…
Saint Étienne (fêté chaque 26 décembre) l’a pris au sérieux et l’a suivi : servir jusqu’à mourir. Il consolida ce chemin neuf, devenant le tout premier diacre et premier martyr après Jésus…

« De la pierre qui te perce
à la pierre qui transperce,
tu vois venir la mort,
Étienne le fort.
Et dans le temps qu’elle pardonne,
ton âme au Seigneur s’abandonne »
(hymne de l’Office des Laudes à la saint Etienne).
La première personne à m’avoir souhaité une bonne fête ce matin a été une femme africaine. Voici notre échange :











