Ainsi parlait Djalâl-od-Dîn Rûmî :
Par-delà les idées du bien et du mal,
Il y a un champ.
Je t’y retrouverai.
Il y a une voix qui n’utilise pas les mots.
Écoute !
Pourquoi rester en prison
La porte est grande ouverte !
Sors du labyrinthe des peurs.
Vis en silence.
La mort brise la cage, mais ne blesse pas l’oiseau.