« Nous n’avons pas le temps d’attendre. La perte de la biodiversité, la perte de la nature, est à un niveau sans précédent dans l’histoire de l’humanité. Nous sommes l’espèce la plus dangereuse de l’histoire mondiale » (Elizabeth Mrema, Secrétaire exécutive de la Convention des Nations Unies sur la diversité biologique, traité international adopté lors du Sommet de la Terre des Nations Unies au Brésil en 1992, dont les trois objectifs sont la conservation de la diversité biologique, l’utilisation durable de la nature et le partage juste et équitable des avantages découlant de la science génétique).
Au regard de l’Histoire, « allons-nous être les leaders qui ont laissé les espèces et la nature disparaître ? Pour que votre petit-fils ou le mien ne voit pas ce magnifique animal, cette fleur incroyable ou l’être même de l’écosystème qui nous fait vivre ? » (Inger Andersen, cheffe du Programme des Nations Unies pour l’environnement).