Tu auras, toi, des étoiles qui savent rire

Le petit prince :
« Tu regarderas, la nuit, les étoiles.
Mon étoile, ça sera pour toi une des étoiles.
Alors, toutes les étoiles, tu aimeras les regarder…
Les gens ont des étoiles qui ne sont pas les mêmes.
Pour les uns, qui voyagent, les étoiles sont des guides.
Pour d’autres, elles ne sont rien que de petites lumières.
Mais toutes ces étoiles-là se taisent.
Toi, tu auras des étoiles comme personne n’en a…☆
Quand tu regarderas le ciel, la nuit, puisque j’habiterai dans l’une d’elles, puisque je rirai dans l’une d’elles, alors ce sera pour toi comme si riaient toutes les étoiles. Tu auras, toi, des étoiles qui savent rire… »
Antoine de Saint-Exupéry

Listening to the warnings, before conflict’s deterioration

The Chinese word CRISIS combines the words « wei » (DANGER) and « ji » (OPPORTUNITY FOR CHANGE), to signify a tipping point, a decisive moment: the role of the crisis is to make even more obvious the necessity to make the right changes, which require courage since it means giving up things that we have got used to. The alarm bells of the conflict stop ringing once we have invested in peace opportunities to the point that the danger has passed, without making us fall into the violence of war. It is then (and only then) that we can be proud of having managed the crisis well, of having escaped a conflict that degenerates into war.

Cf. Étienne Chomé, The C-R-I-T-E-R-E method for improved conflict management, Presses Universitaires of Louvain, 2009, p. 39.

Clefs des remèdes internes aux infections ?

D’après mon expérience, la santé est d’abord et avant tout une dynamique de soins internes ; le commun des mortels ne subit en la matière aucune fatalité imposée de l’extérieur. Aussi, je souhaite que les médias officiels donnent davantage de place aux voix qui présentent les voies du déploiement des ressources internes et les clefs des remèdes internes aux infections.

Je suis alerté par plusieurs censures de voix alternatives au mainstream sanitaire du moment ! Sans animosité ET avec fermeté, nous avons la responsabilité d’apporter notre modeste contribution, chacun.e à sa juste place, n’est-ce pas ?

Dans mon métier (la gestion des conflits), la paix se gagne essentiellement en amont du déclenchement des hostilités violentes. Je fais la même expérience pour ma santé : c’est en amont de la maladie, de la crise extrême, de l’urgence que nous construisons à l’intérieur de nous les bases solides d’une bonne santé. Nos fondations solides internes se mettent en place avant même tout contact avec « le » virus, non ?