
Socrate enchanteur sourcier

La bibliothèque d'Étienne Chomé
Jeux du "je" jusqu'au coeur du coeur
Où est ton doigt ?
20 possibilités (avec 5 x 2 mains + 5 x 2 pieds) ;
et tous sont différents !
Tu vois les choses différemment que moi ?
À la bonne heure, on ne réalise pas un puzzle avec des pièces identiques.
Plus on essaie de rentrer dans le moule,
plus on ressemble à une tarte…
« Désaccord ne veut pas dire désamour ! Respecter nos espaces propres ; l’art d’une juste distance dans une juste présence l’un à l’autre » (Étienne Chomé, La méthode C-R-I-T-E-R-E pour mieux gérer nos conflits, Presses Universitaires de Louvain, 2009, p. 44).
La méthode C-R-I-T-E-R-E, première étape : juste distance dans une juste présence
« Quelque chose en moi sait que rien ne peut m’arriver, que rien ne peut me détruire. C’est ce noyau infracassable en nous, ce noyau infracassable du divin en nous. Alors la peur cesse, et quand la peur cesse, il y a un drôle de morceau de moins d’horreur sur la terre !
Parce que la peur est la plus grande créatrice de réalités qui existe. Ce dont nous avons peur, nous le créons presque irrémédiablement. C’est quelque chose d’effarant. Vous avez dû le remarquer dans votre vie. La peur a le pouvoir d’engendrer images et réalités. Dans l’univers d’épouvante dans lequel nous vivons, tout tient par la peur. Il faut y répondre en congédiant en nous la peur, en reprenant contact avec ce noyau infracassable qui nous habite » (Christiane Singer).
« Quelque chose en moi sait que rien ne peut m’arriver, que rien ne peut me détruire. C’est ce noyau infracassable en nous, ce noyau infracassable du divin en nous. Alors la peur cesse, et quand la peur cesse, il y a un drôle de morceau de moins d’horreur sur la terre !
Parce que la peur est la plus grande créatrice de réalités qui existe. Ce dont nous avons peur, nous le créons presque irrémédiablement. C’est quelque chose d’effarant. Vous avez dû le remarquer dans votre vie. La peur a le pouvoir d’engendrer images et réalités. Dans l’univers d’épouvante dans lequel nous vivons, tout tient par la peur. Il faut y répondre en congédiant en nous la peur, en reprenant contact avec ce noyau infracassable qui nous habite » (Christiane Singer).
Marilyne Monroe a dit : « Nous sommes toutes des étoiles, il nous suffit juste d’apprendre à briller ».
Ne serait-ce pas plutôt : « Nous sommes toutes des étoiles, il nous suffit juste de vivre un infini merci à la source de notre brillance » ?
« Les grands renouvellements ne viennent jamais d’en haut, mais toujours d’en bas. Les arbres ne descendent pas du ciel ; ils croissent du sol, bien que leurs graines fussent jadis tombées d’en haut. L’ébranlement de notre monde ne fait qu’un avec celui de notre conscience… » (Carl Gustav Jung, L’homme et ses symboles, 1959).
« Un jour, quand j’étais gamin, un sage m’a dit :
—Il ne te manque pas grand-chose pour pouvoir marcher entre les gouttes de pluie…
—Marcher entre les gouttes de pluie ?
—Entre les gouttes de la pluie, il y a des mystères qui descendent du ciel.
—Ah bon ? Comment fait-on ?
—Va te mouiller.
Je suis entré dans des pluies torrentielles, à en être trempé comme un oiseau qui sort d’un bain. Il me disait : « Maintenant que tu es mouillé, goûte la pluie ! »
J’ai passé un ou deux mois à me mettre dehors chaque fois qu’il pleuvait mais ça ne venait pas. Puis, j’ai compris que je la désirais d’une façon trop possessive. Je la voulais pour moi. Alors, je me suis donné à elle. Et lorsque je me suis donné à la pluie, à l’eau, tout s’est ouvert. L’humidité de l’univers, l’humidité de la femme, tout ce contact de conduction s’est ouvert.
Sentir chaque goutte de la pluie et dire merci, merci, merci ! » (Luis Ansa).
Dans son élan de type plus maternel, le parent t’entoure de ses bras, avec douceur et tendresse (mouvement horizontal).
Dans son élan de type plus paternel, le parent confirme l’existence et t’appelle à déployer ta propre bonne puissance (mouvement vertical).
Deux versions complémentaires du « je t’aime » parental.
Vivent les mères et les pères,
vive la paire à la mer !
« Cultiver le jardin de la gratitude peut modifier en profondeur notre regard sur nous-mêmes et sur nos expériences et nous offre la possibilité de partager le bonheur qui en découle » (Rebecca Shankland, Les pouvoirs de la gratitude).