Construire la paix sociale à partir d’un dialogue intérieur non-violent
Cet article de 6 pages va au cœur de la démarche proposée dans la méthode C-R-I-T-E-R-E :
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La méthode C-R-I-T-E-R-E pour mieux gérer nos conflits
Ouvrage de 352 pages paru aux Presses universitaires de Louvain (PUL), en 2009, disponible en français et en anglais. Il est distribué par l’éditeur (26 € + frais de port) mais aussi par moi et je vous invite à me contacter pour vous le procurer au meilleur prix.
« La formation donnée par CommunicActions et reprise dans ce livre est la plus belle et la plus riche que j’ai reçue à ce jour. J’ai fait la formidable découverte d’une nouvelle langue universelle et cela a été une révélation dans ma vie » (M.K.).
« La force de ce livre se trouve dans sa méthode et ses outils. Aujourd’hui, ils valent plus que de l’or pour moi ! Auparavant, j’évitais systématiquement les conflits. Désormais, je connais une joie profonde d’oser communiquer et négocier avec les autres » (S. H.).
« Ces outils ont radicalement changé ma vie. Mes relations se sont très concrètement améliorées, d’abord et surtout avec moi-même ! Au lieu de perdre mon temps à pousser contre les autres, j’apprends aujourd’hui à d’abord trouver l’équilibre en moi » (J. L.).
« J’ai suivi pas mal de sessions en tous genres. Les enseignements d’Étienne Chomé sont très certainement ceux auxquels désormais je me réfère le plus souvent pour vivre au quotidien. Les résultats dans ma vie sont absolument incroyables, tant au travail qu’à la maison. J’ai commencé à appliquer la méthode avec mon fils. Très vite, le nombre des disputes a été divisé au moins par dix » (S. M.).
La méthode C-R-I-T-E-R-E articule les compétences de communication vraie, de négociation efficace et de cadre de droit, pour mieux gérer nos conflits. Elle est une synthèse originale et novatrice des techniques reconnues pour leur efficacité en communication et en négociation. Ce livre nous donne accès aux meilleurs acquis des recherches dans ces domaines, en les appliquant d’une manière claire et précise à nos relations de tous les jours, en couple, en famille, au travail et à l’école. À chaque étape du parcours, un outil et de nombreux exercices fournissent les moyens d’une véritable révolution intérieure et l’art de tirer des accords de nos désaccords.
Étienne Chomé est marié et père de quatre enfants, chercheur à l’Université catholique de Louvain et professeur à l’Institut International Lumen Vitae, à Bruxelles. Il est le fondateur et le responsable de l’École internationale CommunicActions, qui se développe sur trois continents et qui enseigne cette méthode de gestion des conflits à des publics très divers : parents, professeurs, cadres, équipes de travail… Les animateurs s’investissent jusque dans les cités populaires, les écoles de banlieue et les prisons.
Une formation qui entraîne d’étonnantes
trans-formations dans le quotidien !
Pour le recevoir sous format imprimé, à un prix inférieur que sur les sites parallèles, contactez-moi.
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Apprendre à mieux gérer nos conflits.
Une communication vraie et une négociation efficace
Ouvrage de 330 pages A4, paru à Maurice en 2005.
Le livre « Critère » (paru en 2009) est une reprise du livre « Apprendre à mieux gérer nos conflits » (paru en 2005), en le mettant à jour et en l’améliorant sur bien des points.
Ceci dit, plusieurs lecteurs me disent préférer lire « Apprendre à mieux gérer nos conflits » pour 1) son style plus proche de l’oral, 2) ses exemples pour parents et couple, alors que les destinataires prioritaires de « Critère » sont les cadres en entreprise) et 3) sa présentation basique de la CNV (Sentiments et Besoins, précédés par les faits et prolongés par une Demande). « Apprendre à mieux gérer nos conflits » a été écrit entre 2000 et 2005, à l’île Maurice, pays qui ne connaissait pas du tout à l’époque la Communication Non-Violente.
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Réussir une mobilisation collective est un art qui s’apprend
Cet article de 29 pages (reprenant un chapitre de ma thèse) présente la méthode D-I-A-P-O-S, qui est la suite sociopolitique de la méthode C-R-I-T-E-R-E. Après avoir appris à gérer mes conflits intérieurs et mes conflits interpersonnels, comment je peux contribuer efficacement à faire tomber les injustices sociétales ?
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L’enchainement des violences : Injustice => Révolte => Répression
Cet extrait de ma thèse souligne que derrière les violences criantes des opprimés en quête de libération, se cachent leurs racines : la violence institutionnelle, injustice souvent installée dans la légalité :
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Le nouveau paradigme de non-violence
Ouvrage académique de 377 pages A4
Est-il possible de contrecarrer efficacement la violence par des forces d’un autre ordre, qui pourraient être qualifiées de « non-violentes » ? La différence entre violence et non-violence est-elle de nature ou de degré ? Où donc passe la ligne de démarcation entre les deux ?
Dans les relations interpersonnelles, à la maison, à l’école, au travail, la gestion constructive des conflits peut-elle enseigner comment exercer la force sans tomber dans les pièges de la violence, comment déployer les forces contraignantes de la ferme autorité, sans autoritarisme, comment vivre l’agressivité-combativité, sans tomber dans l’agression, comment avoir du pouvoir « de », « pour » et « avec », sans pouvoir « sur » les personnes ? Et dans les mobilisations collectives luttant pour plus de justice sociale, les nouvelles sciences de la paix peuvent-elles apprendre comment faire tomber une injustice, sans que les opprimés deviennent les oppresseurs ? Cette recherche explore ce qu’en disent les sciences humaines : psychologie, droit, sciences sociales et politiques.
C’est seulement à la fin du XXe siècle que le terme de « violence » est devenu courant dans le discours politique. Il est aujourd’hui un concept opératoire et performatif, servant au sein d’un groupe humain à faire reculer la ligne du moindre mal toléré. La violence désigne une pratique qui a perdu en honorabilité, en légitimité et en nécessité, au point d’être désormais condamnée moralement et mise hors-jeu politiquement. Le « non » que la non-violence oppose à la violence est un « non » de résistance. La non-violence n’est pas la négation de la violence, mais bien le chemin qui en fait sortir. Un changement de paradigme se cristallise autour de ces deux concepts, définis de manière telle qu’il ne puisse plus exister de « bonne » ou de « juste » violence. Cette problématique est proprement contemporaine. Jusqu’alors, on se demandait par quels critères moraux on reconnaissait la bonne violence, celle dont il faut user légitimement pour contrer la mauvaise. Jusque-là, le problème a toujours été de justifier des exceptions à l’interdit de ne pas tuer ni frapper. De nos jours, grâce aux nouvelles ressources optimisant la recherche des alternatives à la violence, on s’intéresse plutôt à déployer les méthodes et les moyens pragmatiques à la hauteur des principes moraux ET à même de faire effectivement reculer en permanence le seuil de la violence légitimée en « dernier recours ».
Pour le recevoir sous format imprimé, contactez-moi.
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L’objection de conscience rime-t-elle avec la désobéissance civile ?
Article de 12 pages sur l’importance d’incarner son objection de conscience dans un programme d’actions discernées, au risque de ne pas garder les mains pures.
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Une proposition de modèle conceptuel et de pédagogie d’éducation à la paix et à la non-violence
Article de 14 pages paru dans Actes du RENDEZ-VOUS D’ÉTÉ DE LA NON-VIOLENCE (26 août 2011), MIR-Belgique, Bruxelles, 2011
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Il était une fois les ONG de développement… ou le développement des ONG :
étude critique des idéologies de développement
Ouvrage académique de 120 pages.
Disponible bientôt…